Historique d'avril 2013


Mardi 2 avril : [Bonne nouvelle] Nous l'avons échappé belle ! et pas qu'une fois visiblement !

L'astéroïde 2013 ET est passé à côté de la Terre samedi soir

Un astéroïde de la taille d'un pâté de maisons est passé à proximité de la Terre samedi soir. C'est le dernier en date d'une série d'objets célestes à traverser la banlieue de notre planète ces dernières semaines.
Découvert voici une semaine, l'astéroïde 2013 ET, qui mesure 140 mètres de long, est passé à 950'000 km de la Terre samedi à 20h30 GMT (21h30 heure suisse). Cela représente à peu près deux fois et demie la distance Terre-Lune, soit très peu au niveau astronomique.
"Ce qui fait peur, c'est que nous ignorions tout de lui", a déclaré Patrick Paolucci, président de la société Slooh Space Camera. Se déplaçant à la vitesse de près de 42'000 km/h, l'astéroïde aurait pu raser de la carte une grande ville s'il avait heurté la Terre, a estimé un ingénieur du télescope Slooh, Paul Cox.
Deux autres petits astéroïdes sont passés ou devaient passer ce week-end dans la banlieue de la Terre. Celui appelé 2013 EC 20 vient de glisser à 150'000 km de nous, et, ce dimanche, 2013 EN 20 devait passer à 449'000 km. L'un et l'autre ont été découverts il y a seulement trois jours.
L'astéroïde 2013 ET est pratiquement huit fois plus gros que la météorite qui a explosé lors de son entrée dans l'atmosphère, dans le ciel de Tchéliabinsk dans l'Oural, le 15 février. La puissance de l'explosion, de l'ordre de 440 kilotonnes de dynamite, a libéré une onde de choc qui a brisé des vitres et endommagé des bâtiments, et fait des centaines de blessés.
Le même jour, un autre petit astéroïde, DA14, était passé à seulement 27'680 km de la Terre, soit plus près que les satellites en orbite géostationnaire !

Mercredi 3 avril : [Bonne nouvelle] Un site internet gratuit qui transforme vos photos en une vidéo sympa avec de la musique ! très facile !

Donner vie à ses albums-photo en quelques secondes avec Slide.ly

Slide.ly est un outil intuitif et ludique qui vous permet de réaliser des diaporamas dynamiques et orignaux en quelques clics. Test du service en 4 étapes.
Article rédigé par Benjamin Ejzenberg. Suivant de près l’économie numérique, et étudiant à Télécom EM, il publie sur les applications, le cloud et les nouveaux usages. Retrouvez-le sur Twitter : @TheBenimou.

Allez sur www.slide.ly cliquez sur "sign up" en haut à droite et créez vous un compte sur ce site (juste une adresse mail et un mot de passe)

La procédure est ensuite  toute simple

1. Importer ses photos

L’outil vous propose d’abord d’importer vos photos. Il se connecte aux plateformes de votre choix : FacebookInstagram, Google Images, Flickr, Picassa. Vous pouvez également importer les photos de votre ordinateur (c'est le dernier choix en bas à gauche).
Pour commencer choisissez donc plusieurs de vos photos préférées sur votre disque dur ou clé USB.

2. Choisir un fond sonore

Cette deuxième étape consiste simplement à choisir une musique. Là encore l’outil offre de nombreuses possibilités.
Par défaut, Slidely vous propose de sélectionner une vidéo sur Youtube. Cette fonction peut se révéler très pratique. Trouvez le clip d’une chanson et l’application extraira la bande son pour l’incorporer à votre vidéo.
Il est également possible d’importer la musique depuis SoundCloud ou tout simplement depuis un de vos fichiers.

3. Prévisualiser et personnaliser

Après avoir sélectionné une image, une première vidéo vous est automatiquement proposée. Sans aucun effort, le résultat est déjà très convaincant.
A vous ensuite de personnaliser le contenu :
-          Choisissez la vitesse de défilement des photos
-          Configurez la durée en fonction du nombre de photos ou de la musique
-          Et surtout choisisez un thème parmi ceux qui vous sont proposés
-          Enfin, décochez la case « Public » si besoin

 

4. Publier

Votre vidéo est prête ! Vous pouvez immédiatement diffuser le lien par email ou la partager sur les médias sociaux.
Un outil ludique, agréable d’usage et gratuit !

Jeudi 4 avril : [Bonne nouvelle] Meilleure que le thé aux excréments d'insectes recommandé par Hervé ? L'huile d'olive !


Attention, ce sont des Allemands et des Autrichiens qui le disent ! c'est du sérieux !
Par contre, le yaourt à l'huile d'olive, je n'ai jamais goûté et pas envie...


L'huile d'olive aide à se sentir rassasié

ALIMENTATION - Selon une étude européenne, l'huile d'olive serait plus rassasiante que d'autres matières grasses car elle agirait sur la sérotonine, une hormone impliquée dans la régulation de la satiété


Utilisée couramment dans la gastronomie française, l'huile d'olive aurait des vertus minceur insoupçonnées. Déjà réputée pour ses vitamines A et E, elle permettrait également de réguler la sensation de satiété et donc de limiter les apports caloriques. Une conclusion qui fait suite à une étude menée par des chercheurs de la Technische Universität München (TUM) de Munich et de l'Université de Vienne.
Pendant trois mois, ces derniers ont étudié quatre différents types de graisses comestibles : le saindoux, le beurre, l'huile de colza et l'huile d'olive. Lors de cette période, des participants étaient invités à consommer 500g de yaourt maigre avec l'un de ces quatre produits après leur repas. Et il s'avère que les personnes ayant uniquement consommé de l'huile d'olive se disaient rassasiées plus facilement.

Booster la sérotonine

Des prélèvements de sang ont même révélé qu'ils affichaient un taux de sérotonine plus élevé que la moyenne. Or, la sérotonine est une hormone qui régule le stress, l'anxiété et la sensation de satiété. "De façon subjective, les participants ont aussi rapporté qu'ils trouvaient les yaourts avec l'huile d'olive plus nourrissants", explique le chercheur Peter Schieberle de l'Université de Munich.

Pour confirmer cette hypothèse, les chercheurs ont ensuite divisé les participants en deux groupes : l'un consommait des yaourts avec de l'huile d'olive tandis que l'autre ne devait manger que des yaourts nature. Là encore, les mangeurs d'huile d'olive affichaient un taux de sérotonine plus élevé et se disaient plus rapidement rassasiés que leurs camarades sans pour autant prendre un gramme.
Le glucose moins vite absorbé
De plus, les mangeurs de yaourts aromatisés auraient réduit leur apport calorique quotidien d'environ 176 calories par jour comparé à l'autre groupe témoin. "Le groupe arôme a adapté ses habitudes alimentaires, ce que les participants du groupe témoin n'étaient évidemment pas en mesure de faire. Nous avons également constaté que les membres du groupe témoin avaient moins de sérotonine dans le sang", ajoute Peter Schieberle.

Le secret de cette huile résiderait en fait dans certains de ses composés : ils inhiberaient l'absorption de glucose dans le sang, retardant ainsi la sensation de faim. Selon les chercheurs, cette découverte ouvrirait la voie à des produits pauvres en matière grasse, mais néanmoins rassasiants. En février dernier, une étude clinique avait d'ailleurs fait savoir qu'un régime méditerranéen riche en huile d'olive, noix, poisson, fruits et légumes réduirait de 30 % le risque de développer des maladies cardio-vasculaires.

Vendredi 5 avril : [Bonne nouvelle] Une invitation à faire du sport ce week end !

Novak Djokovic:
Je n’ai qu’un conseil pour tous ceux qui veulent faire du sport, c’est que le sport est la direction la plus pure que tu peux avoir dans ta vie car ça t’apprend à être compatissant, discipliné, confiant.

Mais aussi, ambitieux, orienté, et bien sûr, tu as besoin de t’amuser, d’aimer ce que tu fais car c’est ce qui est le plus important, que tu fasses du sport ou quelque chose d’autre dans la vie.

Il y a des moments difficiles que l’humain traverse en ce moment, la crise économique ces 5 dernières années.
Ce n’est pas facile, pas facile de réussir, d’être employé, de trouver un travail, ou de réussir dans un sport parce que c’est très compétitif.

Comme je l’ai dit, ce qui est important, c’est d’essayer de toujours avoir une mentalité positive et après, la vie fera le reste et te donnera des opportunités."

En plus d'avoir un cerveau, ce garçon a des jambes de gazelle et un moral d'acier : http://www.youtube.com/watch?

Lundi 8 avril : [Bonne nouvelle] Pour commencer la semaine dans l'élégance et la légèreté

L'élégance à Moscou de l'épouse du président Xi met en émoi la Chine


PEKIN - L'élégance et le sourire de l'épouse du nouveau chef de l'Etat chinois Xi Jinping, juste après l'atterrissage à Moscou du couple présidentiel en visite d'Etat en Russie, faisaient vendredi sensation dans les médias et sur l'internet chinois.

Immensément populaire en raison de sa longue carrière de chanteuse, Peng Liyuan a descendu de façon très naturelle les marches de la passerelle de l'avion d'Air China, aux côtés de son mari dont elle a même saisi le bras un instant, selon des images diffusées par les télévisions chinoises.

Portant un sac à main et un manteau cintré bleu marine, ne faisant pas ses 50 ans, Peng n'a pas cessé de sourire, avant et au moment de saluer les officiels du comité d'accueil russe.

Quelle élégance!, s'est exclamé dans un microblog un internaute nommé Lanpingzigaidexingfu. Quelle beauté!, a renchéri un autre, Renxiaoxuanxuan. Un troisième, Yanhuozhiqiu, a jugé que Peng était digne, tout en affichant une ouverture d'esprit.

Son manteau a été particulièrement remarqué: quelques heures seulement après les premières images de la sortie de l'avion, plusieurs commerçants du site géant Taobao (l'équivalent chinois d'Ebay) le proposaient en pré-vente.

Le manteau de la Première dame chinoise était offert à des prix compris entre 499 et 10.000 yuans (entre 60 et 1.200 euros).

En quelques secondes, Peng Liyuan a projeté une image de jeunesse et de spontanéité contrastant radicalement avec l'allure austère et réservée de l'épouse de l'ex-président Hu Jintao, Liu Yonqing. Celle-ci était d'ordinaire placée en retrait derrière son mari et rarement exposée aux projecteurs.

Des confins de la Chine jusqu'à Pékin, tous les Chinois connaissent Peng Liyuan, une soprano élevée au grade de général dans l'armée, star pendant 25 ans du gala du nouvel an de la télévision d'Etat, dont chaque édition est regardée par des centaines de millions de téléspectateurs.
Pour l'entendre, cliquez ici : http://www.youtube.com/watch?v=WbgKhIkw_5A

Mardi 9 avril :  [Bonne nouvelle] Bientôt, c'est moi qui chaufferai votre bureau ! 

http://m.leparisien.fr/serv/OFFParisien/b1cAp7Lhy1ox?com=newsgenpsgfrXHT2649039&cid=14


VIDEO. Montrouge : une start-up lance le chauffage par ordinateur

Une douce chaleur règne chez 4 MTec, à Montrouge. Ici, pas de chauffage central, mais une quinzaine de Q.rad, les « radiateurs numériques » de la start-up Qarnot Computing, hébergée dans les locaux de ce bureau d'études. A l'origine de cette invention, Paul Benoît, ingénieur polytechnicien aux faux airs de Harry Potter, croit beaucoup dans son système « économique et écologique ». Avec ses trois associés, dont le médiatique avocat Jérémie Assous, très investi dans la promotion du projet, une vingtaine de personnes planchent aujourd'hui sur sa mise en oeuvre.

Le principe, que comprendront tous ceux qui ont déjà travaillé avec un ordinateur portable sur les genoux : utiliser la chaleur dégagée par des processeurs informatiques installés dans le radiateur. Vendue à des entreprises, des particuliers, des centres de recherche pour traiter des données ou faire du calcul intensif, leur utilisation suffit largement à couvrir la dépense en électricité. Avantage pour l'habitant du logement ainsi chauffé : c'est gratuit! Et pour les clients des serveurs informatiques, la garantie de tarifs bien inférieurs à ceux des coûteux data centers.

Mais l'atout est aussi écologique : « notre système gaspille cinq fois moins d'énergie pour le même résultat », affirme Paul Benoît.

Pour son inventeur, le Q.rad ne connaît pas de limites. Qarnot Computing a réponse à tout : « On règle son chauffage comme on le souhaite, avec un thermostat. En fonction des besoins, nous régulons sur les différents radiateurs le flux des clients informatiques. » Et si ces derniers viennent à manquer? Aucun risque de panne hivernale, selon Paul Benoît : « Nous pourrons offrir gratuitement l'utilisation des serveurs à des chercheurs. » Et pour l'été? « Un mode basse consommation permet de conserver la moitié de la puissance de calcul en chauffant très peu. » Et si c'est encore trop, Qarnot Computing prévoit de la redéployer vers des lieux spécifiques, en équipant par exemple de Q.rad des écoles fermées pendant les grandes vacances. Mais l'ingénieur l'admet : pour son déploiement, la société a tout intérêt à privilégier les zones les plus froides...

300 Qrad installés cet été dans la centaine de logements d'un HLM du XVe arrondissement parisien

Du côté des utilisateurs informatiques, c'est la question de la sécurité qui prime : là encore, Paul Benoît est sûr du résultat. « Nos systèmes ne stockent pas de données, elles ne font qu'y transiter de manière cryptée et à travers des calculateurs disséminés un peu partout. » Et si l'on tente d'ouvrir la machine, « elle s'arrête », prévient l'inventeur.

Des arguments qui ont déjà convaincu : le mois prochain, 25 radiateurs viendront chauffer l'école d'ingénieurs Télécom Paris Tech. Et à partir de cet été, ce sont quelque 300 Q.rad qui vont être installés dans la centaine de logements d'un HLM du XVe arrondissement parisien, à Balard. « Une première expérimentation à grande échelle, salue Jean-Louis Missika, l'adjoint parisien chargé de l'innovation et de la recherche, pour un projet qui pourrait être révolutionnaire!

Mercredi 10 avril : [Bonne nouvelle] Les bonnes nouvelles battent les mauvaises... en tout cas sur les réseaux sociaux genre Facebook et Twitter, voici pourquoi !

http://www.huffingtonpost.fr/bianca-bosker/reseaux-sociaux-like_b_2913404.html?ncid=edlinkusaolp00000003&ir=France

RÉSEAUX SOCIAUX - Que vous le vouliez ou non, vous n'avez pas beaucoup d'options à part "j'aime" pour cet article.

Dans un article récent du New York Times, "Les bonnes nouvelles battent les mauvaises dans les réseaux sociaux", John Tierney a examiné une série d'études en neuroscience et en psychologie sociale ayant enquêté sur le contenu partagé en ligne. Dans leur ensemble, les résultats suggèrent que les bonnes nouvelles se transmettent plus rapidement et à plus de gens, que les informations déprimantes; et Tierney de passer en revue plusieurs explications psychologiques et scientifiques concernant notre comportement, y compris l'imagerie cérébrale, notre besoin d'excitation et des théories sur notre conscience sociale.

Mais il existe un autre facteur clé en jeu que Tierney ne considère pas: les réseaux sociaux sont construits pour faire partager les trucs positifs.
Les réseaux sociaux ont une infrastructure conçue pour distribuer des "tope-là" et des bravos numériques, il n'est donc pas étonnant que ce soit les bonnes nouvelles qui se répandent si vite et si loin.
Il suffit de regarder le vocabulaire des sites de réseaux sociaux les plus populaires sur Internet. Le langage et les symboles se lisent comme s'ils avaient été écrits par des pom-pom girls soumises à une dose abusive d'amphét' : c'est une avalanche de cœurs, d'étoiles et de pouces levés, assortis d'encouragements du genre "j'aime", "favori" ou "digg", et ce quel que soit le contenu.

 Bien sûr, les gens peuvent poster ce qu'ils souhaitent sur les pages blanches de sites comme Twitter, Tumblr et YouTube, mais les outils pour le partage instantané de contenus joyeux et le langage élogieux ne conviennent guère pour transmettre de tristes nouvelles comme un décès, un viol, ou des catastrophes naturelles.
Après tout, pourriez-vous vraiment "liker" de bonne foi un article à propos de violences conjugales pour le poster sur Facebook? Les sites d'information, y compris le Huffington Post, auront souvent tendance à remplacer le "j'aime" de Facebook avec la touche "recommander" pour les articles au contenu plus sensible, mais même en ce cas, les lecteurs semblent pouvoir "recommander" un empoisonnement alimentaire fatal ou un terrible tsunami - je me suis aussi rappelée d'une fois, il y a quelques années, où un ami avait posté la nouvelle de sa séparation sur Facebook. Quelqu'un avait alors "liké". "C'est embarrassant" avait commenté mon ami fraîchement célibataire.

Twitter qui, encore plus Facebook, a inventé sa propre terminologie pour partager son contenu, propose aux gens les mêmes options apparemment inoffensives pour tweeter: "favori" ou "retweet". Or, la touche "favori" -une petite étoile qui s'allume en jaune- n'a pas de sens associée à un tweet évoquant, par exemple, une fusillade dans une école ; et de fait, les gens s'en prennent souvent aux twitteurs qui taguent « favoris » des tweets offensants ou controversés. Les retweets en revanche, sont devenus tellement synonymes de louanges que des bios innombrables de Twitter comprennent l'avertissement: "Les retweets ne signifient pas approbation". Re-poster la mauvaise nouvelle de quelqu'un relève plus de l'exploitation que de l'empathie.

C'est surtout le site communautaire Reddit, qui est sous le feu des critiques pour abriter un contenu répugnant à propos de fantasmes de viol, ou plutôt qui semble avoir le jargon le plus neutre de tous: le "vote".

Bien sûr, sur des sites comme Facebook, YouTube, Twitter et Tumblr, il y a toujours la partie "commentaires" -le réceptacle pour les autres réactions, le petit carré qui révèle tous vos autres sentiments par rapport à une histoire, au-delà du "j'aime". Cependant, l'impact fort et éphémère de nos interactions sur les réseaux sociaux freine encore plus la propagation d'histoires tristes, lesquelles demandent tout simplement plus de temps pour être considérées, partagées et discutées. Il n'existe pas d'abréviation genre LOL pour "vraiment bouleversé par ça" (VBPC ?)? Même pour les gens nés dans l'ère digitale et les accros des réseaux sociaux pros des abréviations Internet, une émoticône ou un emoji à côté d'un post évoquant un scandale, une maladie ou un décès paraît mal venu.

Dans l'ensemble, les médias sociaux se sont surtout efforcés de nous fournir des outils pour transmettre nos succès, faire en sorte que des vidéos rigolotes fassent le buzz, et partager des moments "OMG", tout en ignorant généralement les éléments complexes, et déprimants, qui ne peuvent pas recevoir de cœur ou de pouces levés.
Tierney, et les recherches qu'il cite, auraient aussi tendance à nous attribuer un peu trop de mérite quand à ce que nous décidons de partager, étant donné que les sites communautaires sont socialement conçus pour les choses positives. Leur business model en dépend: il est certain que les marques préfèrent afficher leurs marchandises et leurs slogans à côté de posts à propos de découvertes sensationnelles ou d'animaux surdoués, plutôt que jouxtant des liens sur des fusillades d'école ou des accidents de voiture.

Le triomphe des bonnes nouvelles on-line sur les mauvaises a autant à voir avec ce que les réseaux communautaires souhaitent qu'avec ce que nous voulons.
Après tout, cela fait des années que les utilisateurs de Facebook réclament une touche "j'aime pas". Leur seule façon de la revendiquer passe d'ailleurs par l'affirmatif: la page Facebook "touche J'aime pas" qui réclame de pouvoir utiliser un pouce vers le bas sur les posts des amis, détient plus de 54 000 "J'aime

Jeudi 11 avril :  [Bonne nouvelle] Un nom illustre qui n'hésite pas à en rire

"La Révolution française", le livre qui va déplaire aux bobos

Le Point.fr - 

Louis-Henri de La Rochefoucauld fait de sa famille l'éternelle brimée de notre histoire. Un roman décapant, irrévérencieux et à hurler de rire.


Attention, voici le livre le plus drôle de ce début d'année. Le plus drôle, le plus subversif et le plus corrosif. Il est signé Louis-Henri de La Rochefoucauld. Ce jeune homme vient de commettre un sacrilège familial : revisiter l'histoire deFrance en y débusquant les situations où sa famille a eu le mauvais rôle, le mauvais oeil ou le mauvais emploi. Loin d'être amoindrie par La Révolution française (*), son illustre lignée en sort grandie grâce à l'humour et à l'autodérision.
Exemples : un ancêtre de l'auteur fut gouverneur de la Bastille le 14 juillet 1789, un La Rochefoucauld eut la délicate tâche d'annoncer au roi Louis XVI que la citadelle avait été prise ! Deux siècles plus tôt, en 1572, François, ami du roi Charles IX, se fait trucider à Paris, car la famille a choisi quelques années plus tôt de devenir protestante. Ce soir de la Saint-Barthélemy, croyant à une blague royale, il dit à ses bourreaux "Ne frappez pas trop fort !" Plus tard, un La Rochefoucauld devient le souffre-douleur de Saint-Simon qui adore le traîner dans la boue dans ses Mémoires. Bref, cette famille est la grande martyre de l'histoire de France. On la croyait dominatrice et habituée aux premiers rôles, elle se révèle brimée par les brisures de l'histoire.

L'auteur règle son compte à l'autofiction

Son dernier descendant se livre également à une remise à jour des grands apports de la révolution de 1789. Non, la France n'est pas passée de l'ombre à la lumière à l'instant où son peuple a franchi les grilles de Versailles, puis le jour où quelques traîtres, exaltés ou magouilleurs, ont voté la mort du roi. Louis-Henri de La Rochefoucauld s'est également attelé à une autofiction ; sauf que celle-ci ne se contente pas d'un demi-arrondissement parisien ou d'une quinzaine de jours dans la vie d'un auteur peu inspiré. Son arrière-plan est l'histoire de France, son univers est la France et ses acteurs ne sont ni bobos, ni zozos - souvent les mêmes d'ailleurs -, mais des héros qui occupent à eux seuls des pages entières de nos manuels d'histoire. Ils sont encore plus grands et attachants grâce au trait farfelu et irrévérencieux de leur peintre. Un livre révolutionnaire à couronner immédiatement à la tête des hit-parades.

(*) La Révolution française de Louis-Henri de La Rochefoucauld 185 pages, 18,90 euros (éd. Gallimard)

Découvrez un extrait de "La Révolution française" :

Collectionneur de cravates, de gravures anciennes et de boutons de manchettes, le comte Jean de La Rochefoucauld est né deux ans avant moi, sous le gouvernement Mauroy, en 1983. Ce vaillant chevalier n’a pas été rossé lors des batailles de Crécy ou d’Azincourt. Ce riche huguenot n’a pas été dérangé dans son sommeil lors de la nuit de la Saint-Barthélemy. Ce propriétaire terrien n’a pas été guillotiné pendant la Révolution. Mais puisque nous ne sommes toujours pas à l’abri, il lui arriva des misères assez comparables au cours de l’année universitaire 2003-2004.

Alors étudiant à Paris, mon frère Jean était parti passer un an à Dublin. Rappelons ici que l’Irlande est une terre féconde pour l’humour, vu qu’y naquirent quantité de joyeux drilles, de Jonathan Swift à Oscar Wilde. Pour s’initier à la littérature de ce pays, mon frère Jean avait fait un choix plus audacieux : il avait emporté avec lui Reflections on the Revolution in France, l’essai contre-révolutionnaire publié par Edmund Burke en 1790. Sans doute était-il convaincu que cette lecture, séditieuse en France, n’exciterait personne en Irlande ? Ce ne fut évidemment pas le cas, et il lui arriva une histoire assez incroyable — comme s’il avait récité du Joseph de Maistre devant quelque boxeur républicain.

Une nuit, alors qu’il rentrait chez lui, il fut alpagué par trois rouquins. Les gredins, qui avaient plusieurs litres de Guinness dans le sang, n’honorèrent pas mon frère de son droit d’aînesse : ils le rouèrent de coups un long moment avant de lui arracher son sac et de l’abandonner sur le trottoir, en sang, contusionné, vêtements déchirés. Rapatrié en urgence en France, pouvant à peine ouvrir les yeux, il était bouffi et défiguré.
Mon frère Jean s’en étant tiré sans séquelles, on peut maintenant savourer l’ironie de l’histoire… Cette nuit-là, comme il rentrait de cours, il n’avait rien d’autre dans son sac que quelques feuilles et sa lecture du moment. Ce livre, c’étaitSurveiller et punir de Michel Foucault — ce « penseur » au crâne lisse qui malgré un nom proche n’a rien à voir avec les La Rochefoucauld, merci de le retenir. Quelle folie, ma parole : que j’aurais aimé voir la trogne des trois Irlandais ! Ils tabassent un passant et lui tirent ses affaires. De retour chez l’un d’eux, ils s’ouvrent une bière et, les babines alléchées, se penchent sur leur butin. Découvrent-ils lingots d’or, riches parures et grosses coupures ? Non, juste… un essai sur la prison ! Et écrit en français, en plus ! Bravo, frérot : voilà un grand numéro d’humour rupificaldien.

Après ces désagréments irlandais, mon frère Jean eut cette idée, lointainement héritée de La Rochefoucauld-Liancourt : « servir la France ». Habité par cet étrange leitmotiv, il passa trois fois le concours de l’ÉNA, sans succès. Il insista, mais la France resta sourde à sa bonne volonté, et joua même de sadisme à son endroit — lors de sa première tentative, admissible, il fut premier recalé.

Entêté, mon frère Jean se présenta à d’autres concours et finit par décrocher un poste au Sénat. Ma pensée se tient, hein ! Car c’est précisément l’idée que je voulais transmettre, à travers l’histoire de La Rochefoucauld-Liancourt, quand je disais qu’en nous abreuvant de coups, la Révolution avait voulu nous contraindre à courber l’échine, à jouer profil bas, à renoncer à une part de nous-mêmes pour mieux défendre un pays qui ne veut plus de nous que comme esclaves motus et bouche cousue. Et elle a réussi : même sans livrée de groom, mon frère la sert. Mais c’est de l’intimidation ! Tu devrais tenter un truc, frère Jean : la prochaine fois que tu te rends au bureau, guillotine quelques sénateurs. Tu verras qu’après, tous les sénateurs restants voudront s’engager à ton service ! En arpentant le jardin du Luxembourg, ta canne en l’air, tu pourras alors lever une armée d’un simple claquement de doigts, comme nous le faisions autrefois en traversant nos fiefs !

Lundi 15 avril : [Bonne nouvelle] Une décision intelligente et qui nous concerne !
PARIS (France) - Les aquaculteurs français ne nourriront pas leurs poissons avec des farines animales comme les y autorise désormais la Commission européenne, soucieux de rassurer des consommateurs échaudés par les récents scandales alimentaires comme celui de la viande de cheval.

Nos consommateurs français n'en veulent pas, nous sommes donc contre leur réintroduction, indique Stéphane Dargelas, directeur marketing et commercial du groupe Aqualande, leader européen dans l'élevage et la transformation de la truite.

Cette décision de Bruxelles fait du tort à notre profession déplore-t-il, car elle risque de créer la confusion dans l'esprit de certains consommateurs et de les détourner des rayons.

La France est le seul pays européen où l'annonce de la réintroduction de farines animales dans l'élevage aquacole a suscité une telle campagne médiatique hostile, reconnaît Arnault Chaperon, aquaculteur depuis 1977.

Pour le Comité interprofessionnel des produits d'acquaculture (Cipa), opposé aux farines, la solution passe par la mise en place d'un étiquetage rapide et systématique des produits aquacoles certifiés par une charte de qualité qu'il vient de mettre en place.

Le gouvernement français, qui a déploré le feu vert bruxellois, souhaite aussi la mise en place d'un label précisant l'absence de farine animale.

On n'a rien à cacher et on est fier de notre métier, assure Marc Lamothe, son président, se félicitant par exemple du fait que nos truites, bars, dorades, turbots et esturgeons se retrouvent sur les étals du poissonnier moins de 72 heures après avoir été pêchés, car nous ne travaillons que sur commande.

Démarche qualitative

La Charte qualité-Aquaculture de nos régions est supposée garantir les bonnes pratiques de la filière. Assortie d'un cahier des charges rigoureux, elle garantit donc qu'aucune protéine animale transformée (PAT) n'est introduite dans l'alimentation des poissons d'élevage.

Les PAT sont constitués par les déchets d'abattoirs, essentiellement de porc et de volaille, mais hors ruminants, obtenus à partir du concassage de ces matières, de leur cuisson, de leur broyage et tamisage.

Bruxelles a autorisé la réintroduction des farines de porc et de volaille en Europe à partir du mois de juin pour l'alimentation des poissons d'élevage. L'utilisation des farines animales pour les ruminants avait été interdite en 1997 et elle avait été étendue aux poissons en 2001.

Je n'ai jamais utilisé de farine animale pour nourrir mes truites et mes esturgeons, indique Arnault Chaperon, mais exclusivement de la farine, de l'huile de poisson et des produits végétaux issu du lin ou du soja.

Engagé sur la préservation de l'environnement, le CIPA espère produire à l'horizon 2020, 1 kilo de truite pour 1 kg de poisson sauvage consommé, contre 2,4 kilos actuellement.

Cette démarche qualitative a emporté l'adhésion de plusieurs enseignes, comme Auchan ou Casino. Elle a recueilli par ailleurs le soutien de l'ONG environnementale World Wildlife Fund et celui d'associations de consommateurs, précise le Cipa.

L'aquaculture française produit environ 50.000 tonnes de poissons par an (salmonidés, poissons d'étangs, poissons marins).


(©AFP / 16 mars 2013 07h57)

Mardi 16 avril : [Bonne nouvelle] Très sympa et gratuit sur votre ordi à la maison, à ne pas utiliser au bureau : vous écoutez légalement tout ce que voulez, quand vous voulez

Spotify cherche à améliorer son offre gratuite pour inciter les utilisateurs à passer à l'offre premium.

Spotify le logiciel d’écoute de musique en streaming compte actuellement 24 millions de comptes actifs. Mais à l’heure actuelle, seuls 6 millions de comptes sont en offre payante à 10€ par mois. La société suédoise tire la majorité de ses revenus de ces abonnements payants. Pour garantir sa rentabilité, Spotify cherche donc à augmenter le nombre d’utilisateurs payant de son logiciel.
Les responsables cherchent actuellement à convaincre les labels que leur offre premium se vendrait toute seule si les utilisateurs pouvaient en avoir un avant-goût gratuit. Leur leitmotiv : l’essayer c’est l’adopter…ou s’abonner dans le cas de Spotify.

Une offre Spotify gratuite sur mobile ?

Pour le moment, les utilisateurs d’un compte gratuit ont accès à la musique de Spotify sur leur ordinateur et pas sur leur mobile ou tablette. Les albums et playlists sont interrompus par des publicités, de l’ordre de 2 à 3 minutes par heure.
L’offre premium de Spotify donne un accès illimité et sans publicité à la base de données musicale et l’accès à toutes les playlists depuis n’importe quel appareil.
Spotify souhaiterait permettre aux utilisateurs de l’offre gratuite de choisir un certain nombre de titres à écouter sur leur mobile. Idéalement, les internautes pourraient y avoir accès pendant plusieurs mois avant de devoir les changer. Mais un certain nombre d’écoutes du même titre sera imposé.
Parmi les autres suggestions de Spotify : permettre aux utilisateurs de choisir l’ordre des pistes de leurs listes de lecture. Les labels souhaitant plutôt imposer un ordre aléatoire.

https://www.spotify.com/fr/video-splash/?utm_source=spotify&utm_medium=web&utm_campaign=start pour se créer un compte gratuit, il suffit d'un pseudo, d'un mot de passe et d'une adresse email.


Mercredi 17 avril : [Bonne nouvelle] Votre téléphone mobile sera encore plus utile !

Non contents d'être devenus indispensables pour communiquer et pour se divertir, les smartphones se dotent maintenant de fonctions dédiées au bien-être et à la santé.


 Les mobiles et le cloud au service de la santé selon Fujitsu
Surveiller son taux de glycémie à l'aide de son smartphone. C'est déjà une réalité grâce à un petit accessoire pour iPhone vendu en Pharmacie par Sanofi ou directement avec certains téléphones pour séniors de la marque Doro.
 Suivre son poids ou sa tension grâce à des appareils connectés sans fil à son smartphone, c'est également possible, par exemple, avec les accessoires de la marque française Withings.
Un smartphone qui prend le pouls
Mais la tendance, de plus en plus, va être d'intégrer certaines fonctions de ce genre directement dans les smartphones. Exemple : le smartphone qui vous prend votre pouls. Et cela d'une manière très simple puisqu'il suffit de regarder la caméra de l'appareil. L'appareil mesure les variations de brillance du visage provoquées par le flux sanguin et, en cinq secondes, il peut mesurer le taux d'hémoglobine et estimer ainsi le rythme cardiaque. Présenté au Japon par la société Fujitsu, il devrait être commercialisé dans le courant de l'année.
Un autre qui analyse l'urine
Autre exemple : une société indienne de biotechnologie a présenté récemment une application d'analyse d'urine. Une application pas destinée directement aux particuliers mais qui pourrait être utilisée dans les centres médicaux à la place du matériel onéreux utilisé actuellement.
Accessoires connectés
Dans le même ordre d'idée, le Galaxy S4, haut de gamme de chez Samsung, qui vient d'être dévoilé il y a quelques jours et qui sortira fin avril, intègre lui aussi des fonctions et des applications dédiées au bien être et à la santé. Le Galaxy S4 intègrera tout d'abord un podomètre pour compter le nombre de que vous faites chaque jour et vous inciter ainsi à l'effort. Toute une série d'accessoires sera également commercialisée comme une balance connectée et un cardio-fréquencemètre.
Voilà comment le smartphone va devenir le meilleur ami de notre santé. L'autre avantage, c'est que toutes les informations collectées sont sauvegardées automatiquement dans le nuage informatique. Préparez-vous à contrôler votre vie en temps réel à l'aide de votre téléphone mobile.

Jeudi 18 avril : [Bonne nouvelle] Une entreprise qui mérite tous les soutiens

La justice accorde 2 ME aux ex-salariées d'Aubade

Leur ténacité a fini par payer. La justice a donné raison ce mercredi à 66 anciennes salariées de l'usine de lingerie fine Aubade de Saint-Savin (Vienne), qui se battent depuis plus de trois ans contre leur licenciement. Elles dénonçaient le caractère «boursier» de ces suppressions de postes opérées par leur propriétaire, le groupe suisse Calida, en 2009. La justice les a entendues et leur a accordé d'importants dommages et intérêts.

La chambre sociale de la cour d'appel de Poitiers a accordé aux salariées d'Aubade Saint-Savin des dommages et intérêts allant de 13.000 à 55.000 E, en fonction de l'ancienneté, soit environ 2 ME au total, a indiqué leur avocat, Me Emmanuel Giroire-Revalier.

«Le licenciement est dépourvu de cause réelle et sérieuse» 

Sur 101 licenciées fin 2009, 66 salariées avaient saisi les prud'hommes, estimant qu'il n'y avait «aucun motif économique» aux suppressions d'emploi. Huit autres contestent leur licenciement, mais dans un procédure disjointe dont le dénouement est prévu en avril.
Les salariées estimaient que les difficultés financières invoquées à l'époque par Calida (sous-vêtements, pyjamas, maillots de bain) n'étaient pas justifiées, que le groupe suisse avait à l'époque les moyens de soutenir sa filiale, et que les suppressions d'emploi répondaient à une logique financière et stratégique.

Les ex-salariées avaient été déboutées en janvier 2012 par le conseil des prud'hommes de Poitiers, jugement que la cour d'appel a annulé. Elle considère qu'«en l'absence de preuve des difficultés économiques du groupe Calida, le licenciement est dépourvu de cause réelle et sérieuse». Mais elle ne retient pas pour autant le caractère «abusif» du licenciement comme le réclamaient les appelants, car Calida n'a pas «organisé artificiellement les difficultés».

Délocalisation en Tunisie 

La cour relève en outre que le groupe suisse avait présenté le rachat d'Aubade (en 2005) comme un moyen de «dépoussiérer son image classique», et «avait affirmé que son objectif était de parachever la délocalisation de la fabrication» en Tunisie étant donné les coûts salariaux inférieurs.
Les juges ont enfin considéré que la société Aubade «a manqué à son obligation de recherche sérieuse, loyale et personnalisée de reclassement».

Les anciennes salariées réclamaient des indemnités allant de 24 à 48 mois de Smic, soit de 30 000 à 70 000 E, selon l'avocat.

Aubade comptait 472 salariés en France à son rachat en 2005. L'entreprise avait perdu 140 emplois lors d'un premier plan social en 2007, après une délocalisation en Tunisie. Un second plan de 101 suppressions n'avait laissé dans l'usine de Saint-Savin qu'une trentaine de personnes, sur une plateforme de logistique et de distribution.

Vendredi 19 avril :  [Bonne nouvelle] Un truc de fou !

Pour voir de quoi on parle, regardez ceci : http://www.youtube.com/watch?v=J-K1B4sTX4o
photos dans la pièce jointe si elles n'apparaissent pas ici

Le Point.fr - Publié le 05/04/13 à 12h49
La 208 T16 que Sébastien Loeb essaiera de conduire à la victoire à Pikes Peak en juin prochain sera en fait un prototype à 4 roues motrices animé par un V6 biturbo.La 208 T16 que Sébastien Loeb essaiera de conduire à la victoire à Pikes Peak en juin prochain sera en fait un prototype à 4 roues motrices animé par un V6 biturbo. DR
Auto-Addict

Loeb à Pikes Peak : 850 ch en Peugeot 208

C'est au volant d'une 208 T16 très spéciale que le champion du monde tentera de remporter la course de côte la plus célèbre du monde.

Sébastien Loeb n'en a pas encore fini avec les routes de montagne. Celle qu'il affrontera le 30 juin prochain à Pikes Peak, aux États-Unis, ressemblera d'ailleurs à s'y méprendre à une spéciale de rallye de 20 km comme il en a déjà tant parcouru. À ceci près que la voiture qui sera mise à sa disposition pour cette épreuve unique, disputée dans le Colorado, sera près de trois fois plus puissante que la DS3 WRC avec laquelle il a remporté la dernière édition du rallye Monte-Carlo en ce début d'année.
Car sous une carrosserie en matériaux composites se contentant d'évoquer une 208, c'est un véritable prototype à moteur arrière de catégorie "unlimited" - c'est-à-dire se contentant de satisfaire les normes de sécurité sans limitations techniques - que Peugeot Sport a développé.
Châssis tubulaire
Conçu spécifiquement pour cette course de côte désormais intégralement courue sur asphalte, cette 208 T16 très spéciale profitera en effet à plein du savoir-faire accumulé par l'équipe de Vélizy en championnat d'endurance sur tous les plus beaux circuits du monde. Autour d'un châssis tubulaire en acier - préféré à une coque en carbone pour des raisons de coût et de temps de développement - ce sont notamment des trains roulants de 908, une vraie pistarde, qui seront utilisés.
Le fait que Pikes Peak soit entièrement revêtu a permis ce transfert de technologies issues du circuit. En revanche, trop lourd, le V8 HDi de la voiture d'endurance a été écarté au profit d'un V6 essence de la marque qui fait ici son baroud d'honneur dans une version biturbo développant "au moins" 850 ch. Une sacrée cavalerie qu'une boîte séquentielle SADEV transmet aux quatre roues pour garantir le maximum de motricité. 
La 208 T16 engagée à Pikes Peak sera beaucoup plus spectaculaire que celle bientôt engagée en chamiponnat dPlus de 120 km/h de moyenne en côte
Compte tenu de la puissance disponible et des vitesses atteintes - plus de 120 km/h de moyenne pour des pointes dépassant 240 km/h -, l'aérodynamique promet d'être spectaculaire avec d'énormes ailerons garantissant un appui maximum au profit de la vitesse de passage en courbe.
Les 405 T16 qui ont remporté lCette 208 T16 pourrait bien permettre à Peugeot de renouer avec la victoire dans le Colorado, 25 ans après les deux éditions consécutives remportées en 1988 et 1989 par Ari Vatanen et Bobby Unser sur 405 Turbo 16. Accessoirement, elle ferait aussi de Sébastien Loeb le deuxième pilote français à inscrire son nom au palmarès de cette épreuve mythique après Michèle Mouton en 1985.

Lundi 22 avril [Bonne nouvelle] A la fois sympa et poétique dans ce monde de brutes ! Regardez la photo !

Afrique du Sud: il vole de Robben Island au Cap grâce à 160 ballons

Un Sud-Africain a réussi samedi la traversée entre l'île de Robben Island, où fut emprisonné Nelson Mandela, et la ville du Cap, suspendu dans les airs à des ballons de baudruche gonflés à l'hélium. Ceci dans l'espoir de lever des fonds pour créer un hôpital pédiatrique à Johannesburg.
Matt Silver-Vallance, 37 ans, a volé durant environ une heure, sur une distance d'une douzaine de kilomètres, porté par un bouquet de 160 ballons. Il s'est posé en mer à moins de 400 mètres de la côte sud-africaine, pour éviter un atterrissage jugé trop risqué sur le continent.
"En fin de compte, notre but n'est pas de flotter dans les airs transportés par des ballons depuis Robben Island mais de motiver les gens, partout dans le monde, pour qu'ils prennent cinq minutes et fassent un don pour aider la collecte de fonds pour l'hôpital pour enfants Nelson Mandela", a expliqué Matt Silver-Vallance, 37 ans, sur le site relayant son projet.
Une fine pluie et le temps couvert l'ont d'abord empêché de décoller depuis un terrain d'aviation de l'île-prison où Nelson Mandela avait passé 18 de ses 27 années de détention dans les geôles du régime de l'apartheid.
Faire sourire Mandela
"Les risques que je prends sont minces comparé à ce que Nelson Mandela a fait", a commenté Matt, avant de pouvoir prendre son envol et décoller peu avant midi. Il devait s'élever jusqu'à 200 mètres au-dessus du niveau de la mer.
L'hôpital Nelson Mandela pour enfants est un projet de la fondation Nelson Mandela pour les enfants. Cette unité pédiatrique universitaire devrait abriter 200 lits sur un terrain adjacent à la très réputée faculté de médecine de l'université de Witwatersrand, et accueillir des enfants de toute l'Afrique australe.
Nelson Mandela, âgé de bientôt 95 ans, est sorti samedi de l'hôpital où il avait été soigné pendant neuf jours pour une infection pulmonaire. "Nous espérons, bien sûr, le faire sourire. Comme la plupart des Sud-Africains, nous l'aimons tous énormément", a dit Matt.


(ats / 06.04.2013 21h17)


mardi 23 avril : [Bonne nouvelle] Invitation au voyage et aux (proches) vacances

Un voyage pas trop loin dans ce genre d’engin, c’est le bonheur assuré !
Invitation au voyage
Jean-Marc Ayrault se rendait vendredi à Wurtzbourg (Würzburg en allemand), à l'invitation de l'université Julius Maximilian, où il a fait ses études en 1969-1970, pour se voir remettre la médaille de citoyen d'honneur de cet établissement. Le Premier ministre, ancien professeur d'allemand, dans un discours prononcé dans cette langue devant étudiants et professeurs, a plaidé en faveur d'une Europe "lieu d'innovation tourné vers l'avenir" et a invité la jeune génération à voyager, encourageant les étudiants allemands en France et français en Allemagne à être plus nombreux. "C'est à Wurtzbourg que j'ai appris à aimer l'Allemagne", a-t-il assuré.
Concluant par un mot d'humour, il a confié qu'il avait toujours son minibus Volkswagen, avec lequel il était déjà revenu sur le lieu de ses études il y a trente ans. Il devait ensuite se rendre à Munich, où il doit notamment participer samedi à l'inauguration d'une exposition "de Gaulle-Adenauer".
Nouvelle série de l’été du Parisien / Aujourd’hui en France pour cette semaine d’août. Après nous avoir tout dit sur les danses de l’été – et sur la danse des canards – le quotidien entame une série sur les hobbys des personnalités.

Ce lundi 6 août, c’est le Combi Volkswagen de Jean-Marc Ayrault qui s’affiche sur une pleine page du journal :

« Entre Jean-Marc Ayrault et son Combi Volkswagen, ça roule depuis plus de quarante ans. »

Et l’on apprend que le Premier Ministre est un geek du camping-car :

« Dans le petit monde du camping-car, [Ayrault] est bien connu, rapporte un journaliste spécialisé. Ces dernières années, il fréquentait encore les salons thématiques dans l’ouest de la France. Il se tient au courant des évolutions, consulte les différents modèles. »


Mercredi 24 avril : [Bonne nouvelle] 10 choses que les gens heureux font différemment des autres
On peut évidemment en contester certaines et en suggérer d'autres !

Le bonheur est d'avoir dans une autre ville une grande famille soudée et attentionnée" -George Burns

Jusqu'à quel point êtes-vous heureux et pourquoi ? C'est une question à laquelle j'ai consacré pas mal de temps, non seulement parce qu'elle concerne ma propre évaluation du bonheur, mais aussi ma famille, mes amis et les personnes avec lesquelles je travaille. Depuis que j'ai obtenu mon diplôme de psychologie positive, j'ai travaillé avec des milliers de gens dans des circonstances très différentes, je les ai observés et j'ai pu constater que les gens heureux ont une façon qui leur est propre d'aborder la vie. Voici ce en quoi ils agissent différemment :

Ils s'entourent d'un fort tissu social. Les gens heureux sont connectés à leurs familles, leurs voisins, leurs lieux de culte et leurs communautés. Ces connexions agissent comme un tampon contre la dépression et créent des liens forts et importants. Le taux de dépression a augmenté dramatiquement durant les 75 dernières années. L'Organisation mondiale de la Santé prévoit que d'ici 2020, la dépression sera la seconde cause de décès dans le monde, touchant près d'un adulte sur trois. Bien que plusieurs raisons peuvent probablement expliquer cette augmentation, l'une des plus importantes pourrait être la déconnexion des gens avec leurs familles et leurs communautés.
 
Ils s'engagent dans des activités qui conviennent à leurs forces, à leurs valeurs et à leur façon de vivre. Quand on parle de stratégies du bonheur, il n'y a pas qu'une solution qui convienne à tous. De la même façon que vous adaptez vos exercices à votre objectif sportif, les gens heureux agissent en fonction de leurs buts émotionnels. Certaines stratégies connues pour améliorer la joie de vivre me paraissent un peu trop mièvres, mais celles qui marchent le mieux me permettent d'exercer ma bienveillance, d'exprimer ma gratitude, et de m'engager complètement. Le Dr Sonja Lyubomirsky propose dans son livre Comment être heureux et le rester, un merveilleux test d'auto-évaluation permettant de sélectionner les stratégies les plus adaptées à votre tempérament et à vos valeurs.

Ils expriment leur reconnaissance. La gratitude fait du bien au corps. Elle vous aide à mieux gérer le stress et les traumatismes, améliore l'amour propre et l'estime de soi quand vous réalisez combien vous avez déjà accompli, et aide souvent à chasser les émotions négatives. Des recherches ont également indiqué des corrélations entre l'expression d'une force de reconnaissance et le sentiment de satisfaction pour sa vie [1].

Ils abordent la vie de manière optimiste. Les gens heureux contiennent leurs tendances pessimistes de trois façons. Tout d'abord, ils concentrent leur temps et leur énergie sur ce qu'ils peuvent contrôler. Ils savent comment passer à autre chose si certaines stratégies ne fonctionnent pas ou s'ils ne peuvent pas contrôler une chose en particulier. Ensuite, ils sont conscients que « ça aussi, ça va passer ». Les gens heureux savent serrer les dents face à l'adversité car ils ont compris que si la vie ne peut pas être un long fleuve tranquille, les aléas ne durent pas. En fin de compte, les gens heureux sont doués pour compartimenter leurs vies. Ils ne permettent pas qu'un problème dans un domaine ne viennent contaminer le reste de leur existence.

Ils savent que c'est bien de faire le bien. Les gens heureux aident les autres en faisant du volontariat. Des recherches ont montré un lien profond entre un comportement altruiste et le bien-être, la santé et la longévité. Agir de façon bienveillante vous permet de vous sentir bien par rapport à vous-même et aux autres, et les émotions positives qui en résultent améliorent votre résistance physique et psychologique. Une étude a suivi cinq femmes ayant souffert de sclérose en plaques durant trois ans [2]. Ces femmes se sont portées volontaires pour soutenir 67 autres personnes souffrant de cette même maladie. Les résultats ont montré que ces cinq volontaires ont connu des changements positifs qui se sont révélés plus importants que les améliorations expérimentées par les patients qu'elles avaient soutenues.

Ils savent que les richesses matérielles n'occupent qu'une petite part de l'équation. Les gens heureux considèrent de façon saine la joie que pourraient leur apporter des possessions matérielles. Dans son livre Comment être heureux et le rester, Lyubomirsky explique qu'en 1940, la proportion d'Américains déclarant être « très heureux » était d'environ 7,5 sur 10 [3]. Or, à combien estimez-vous cette proportion aujourd'hui, avec les iPods, la télévision couleurs, les ordinateurs, des voitures plus rapides, et un revenu qui a plus que doublé ? 7,2. Non seulement les biens matériels ne font pas le bonheur, mais ce sont même d'importants facteurs de mécontentement. Une étude a observé l'état d'esprit de 12.000 élèves en première année universitaire, âgés de 18 ans, puis les a interrogés sur leur état de satisfaction par rapport à leur vie lorsqu'ils avaient 37 ans. Ceux qui avaient exprimé des aspirations matérialistes à 18 ans étaient moins satisfaits de leurs vies vingt ans plus tard [4].

Ils ont développé de saines stratégies pour gérer les aléas de la vie. Les gens heureux rencontrent des épisodes stressants dans leurs vies mais ils ont mis au point des stratégies gagnantes pour les surmonter. Savoir rebondir après un traumatisme fait partie des changements positifs personnels résultant de quelqu'un s'efforçant de gérer des événements existentiels très difficiles. Selon les chercheurs Tedeschi et Calhoun, il y a 5 facteurs d'amélioration après la gestion d'un événement difficile : une façon renouvelée d'apprécier la vie, la découverte d'autres manières d'aborder la vie, une plus grande force personnelle, de meilleures relations avec autrui et un essor de la spiritualité. Les gens heureux deviennent doués pour voir le bien pouvant résulter de moments difficiles.

Ils se concentrent sur la santé. Les gens heureux prennent soin de leur corps et de leur esprit et savent gérer leur stress. Se concentrer sur sa santé ne se limite pas cependant à faire de l'exercice. Les gens heureux agissent en fait comme des gens heureux. Ils sourient, ils s'investissent dans les choses et apportent un niveau optimal d'énergie et d'enthousiasme à ce qu'ils font.

Ils cultivent leurs émotions spirituelles. Selon Lyubomirsky, de plus en plus de chercheurs suggèrent que les personnes croyantes sont plus heureuses, en meilleure santé et se remettent plus facilement d'un traumatisme que les personnes laïques [5]. De plus, les auteurs Ed Diener et Robert Biswas-Diener expliquent dans leur livre Happiness: Unlocking the Mysteries of Psychological Wealth, que les émotions spirituelles sont essentielles à la richesse psychologique et au bonheur, car elles nous aident à nous connecter avec ce qui nous dépasse.

Ils savent où ils vont. Avancer dans le but d'avoir une vie qui ait un sens est l'une des stratégies les plus vitales utilisées par les gens heureux. J'ai sous-estimé l'importance du sens de la vie quand j'étais avocate, mais c'est devenu évident pour moi lorsque je me suis retrouvée au bout du rouleau. Selon Diener et Biswas-Diener, les gens heureux ont des valeurs auxquelles ils tiennent et ont des résultats qui valent la peine qu'on se donne du mal pour les obtenir.
Le grand Dr. Chris Peterson, aujourd'hui disparu, a évoqué son propre chemin vers le bonheur en ces termes :
"J'ai passé mes premières années de jeune adulte à repousser à plus tard beaucoup de petites choses dont je savais pourtant qu'elles me rendraient heureux. J'ai eu la chance de me rendre compte un jour que je n'aurais jamais le temps de les faire, à moins de trouver ce temps nécessaire. Et c'est là que le reste de ma vie a commencé."
A mesure du temps qui passe, les gens heureux ont développé un éventail spécifique de stratégies qui leur fait voir la vie différemment - un éventail équilibré entre compétences et émotions. Et vous, qu'ajouteriez-vous à cette liste ?

Entrez en contact avec Paula David Laack, l'auteur de ce billet, via :
Son site Internet : 
www.marieelizbethcompany.com
Facebook : 
www.facebook.com/marieelizabethcompany
Twitter : 
www.twitter.com/pauladavislaack

_____________________
[1] Park, N., Peterson, C., & Seligman, M.E.P. (2004), "Strengths of character and well-being", Journal of Social and Clinical Psychology, 23(5), 603-619.
[2] Schwarz, C.E., & Sendor, M. (1999). "Helping others help oneself : Response shift effects in peer support", Social Science and Medicine, 48, 1563-75.
[3] Lane, R.E. (2000). "The loss of happiness in market democracies", New Haven, Yale University Press. 
Voir Figure 1.1, p.5.
[4] Nickerson, C., Schwartz, N., Diener, E., & Kahneman, D. (2003). 
"Zeroing in on the dark side of the American dream: A closer look at the negative consequences of the goal for financial success", Psychological Science, 14, 531-36.
[5] Ellison, C.G., & Levin, J.S. (1998). "The religion-health connection: Evidence, theory, and future directions", Health Education and Behavior, 25, 700-20.



Jeudi 25 avril : [Bonne nouvelle] Nike, Lego, Kinder, Nutella, Barbie, Sony, Samsung, Apple, Nestlé... mais aussi famille, respect et honnêteté : les préférences des 18-40 ans



Nostalgie consumériste quand tu nous tiens! 
Nomen Research, cabinet spécialiste dans le marketing et la création de noms de marques, a demandé à un échantillon représentatif (1) de consommateurs âgés de 18 à 40 ans quelles sont les marques qui ont le plus marqué leur enfance, et celles qui les « rendent nostalgiques. »
 Le tiercé gagnant est Nike, Lego et Kinder. Au final, un podium équilibré entre trois univers: celui du sport et de la mode décontractée du quotidien, du jeu et de la gourmandise. Il est à noter cependant que les résultats sont sensiblement différents quand Nomen les affine selon les générations. Ainsi le cabinet distingue-t-il les 30-40 ans qui appartiennent à ce que les sociologues appellent la « génération X » et les 18-29 ans qui font partie de la « génération Y ».
Les plus jeunes semblent plus attachés à l’aspect mode et sport de leur « enfance »: Nike et Adidas précèdent Kinder… Les trentenaires et tout juste quadragénaires, eux, restent plus marqués par la dimension gourmande et ludique de leurs jeunes années, avec le trio Nutella, Lego et Kinder. Pour la petite histoire, les femmes des deux générations plébiscitent Barbie comme marque la plus nostalgique, tandis que les garçons choisissent Nike.

UN UNIVERS TECHNOLOGIQUE INDISPENSABLE

Tout change bien entendu quand la question porte sur les marques jugées les plus indispensables au quotidien. Quel que soit l’âge ou le sexe, les deux labels les plus cités sont Samsung puis Apple. On voit donc à quel point ces générations sont immergées dans un univers technologique, notamment celui des smartphones dont ces deux marques se disputent férocement le leadership. Des smartphones dont le nombre devrait atteindre plus de 3 milliards dans le monde d’ici à 2018, soit trois fois plus qu’aujourd’hui, selon le rapport annuel du groupe suédois Ericsson publié le vendredi 8 mars.
Les choses diffèrent légèrement pour la troisième place de ces marques jugées indispensables. Les 18-30 ans se tournent vers la mode avec Nike et les 30-40 ans citent le plus… Nestlé. Sans doute parce que ces derniers sont plus installés dans la vie et ont commencé à fonder une famille. Ce sont d’ailleurs les femmes qui citent le plus la marque suisse d’agroalimentaire. Pour les deux générations confondues, c’est cependant une autre marque de produits technologiques qui arrive sur la troisième place du podium: Sony.

IMPORTANCE DE LA FAMILLE

Ces choix reflètent assez fidèlement le profil sociologique de ces deux générations de Français, même si Sophie Gay et Robin Poncet, de Nomen, reconnaissent avoir été surpris de cette omniprésence des produits hi-tech chez les 30-40 ans. « Nous pensions qu’ils étaient peut-être moins « technos » que les plus jeunes nés avec Internet », disent-ils.
Pour autant, les deux générations présentent nombre de points communs dans leurs centres d’intérêt respectifs, à commencer par surfer sur Internet: 90 % des 18-29 ans et 89 % des 30-40 ans disent le faire tous les jours ou presque. Regardez la télévision et écouter de la musique sont aussi parmi les activités les plus pratiquées quotidiennement par ces deux classes d’âge.
En revanche, les plus jeunes écoutent moins la radio au quotidien (39 %) que leurs aînés (56 %) mais lisent davantage la presse: 27 % contre 22 %. Les deux générations pratiquent assez peu de loisirs créatifs. De même, quelque 60 % de chaque classe d’âge déclarent ne jamais faire de bénévolat dans une association. Les deux générations se retrouvent sur les valeurs qui reflètent le plus leurs aspirations et règles de vie: la famille (33 % des 18-29 ans et 44 % des 30-40 ans), le respect et l’honnêteté!

DÉSIR DE TRANSPARENCE DANS L’ALIMENTAIRE

L’étude de Nomen analyse plusieurs secteurs de la consommation et notamment celui de l’alimentaire alors que le scandale de la viande de cheval battait son plein. Quand on leur demande de noter les marques alimentaires en général pour leurs performances dans plusieurs catégories, les meilleures notes sont attribuées au rapport qualité prix, aux efforts pour la simplicité et pour l’innovation.
En revanche, le caractère éthique, leur responsabilité sociale et environnementale ou leur transparence sont assez mal évalués. Et ce sont justement des efforts de traçabilité et de transparence que les générations X et Y disent attendre le plus dans ce secteur. Un message adressé à l’industrie agroalimentaire!
(1) Étude réalisée sur Internet du 15 au 20 janvier sur un échantillon de 607 personnes représentatives de la population française des 18-29 ans et des 30-40 ans.
MICHEL WAINTROP religion-health connection: Evidence, theory, and future directions", Health Education and Behavior, 25, 700-20.

Vendredi 26 avril : [Bonne nouvelle] Vous préférez l'ascenseur ou l'escalier ?

Les ascenseurs les plus incroyables du monde

INSOLITE - Pour s'élever dans les airs, quoi de plus classique qu'un ascenseur ? Mais certains sont beaucoup beaucoup plus originaux que d'autres aux quatre coins du monde.
Florence Santrot | Metrofrance.com


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